Le conducteur d'une voiture arrêté à un feu rouge a été très grièvement blessé par un homme armé de plusieurs couteaux, mercredi soir, à Toulouse. Selon nos informations, son agresseur venait de sortir de l'hôpital psychiatrique.
Une scène rapide, d'une violence extrême, qui a laissé un homme entre la vie et la mort. L'agression perpétrée mercredi soir, à l'angle de l'avenue Jean-Baylet et de la rue Vincent-Auriol dans le quartier des Pradettes à Toulouse a traumatisé témoins et victimes. Une violence qui n'est pas sans poser de questions.
Il était aux environs de 21 h 30 lorsqu'un automobiliste, arrêté à un feu rouge, a soudain vu la portière conducteur de son véhicule, une Fiat Punto blanche, s'ouvrir. Il n'a pas eu le temps de réagir. Un homme, armé de plusieurs lames, a fondu sur lui et lui a asséné, avec acharnement, plusieurs coups au niveau du thorax et du cou.
Arrêtés derrière la victime, dans leur voiture, au même feu rouge, un homme et une femme ont assisté à la scène. Le conducteur est rapidement sorti pour aider la victime mais s'est retrouvé à son tour menacé par l'agresseur qui a brandi ses couteaux.
Il n'a pas attendu qu'il s'approche et est allé directement au coffre de sa voiture afin de se munir d'un cric pour se défendre face à l'assaillant. Dans ce laps de temps, le fou furieux a pénétré dans cette deuxième voiture, côté conducteur. La passagère se trouvait toujours dans l'habitacle. Il l'a menacée et aurait tenté de la frapper. «Elle s'est vue mourir», confiait hier une source proche du dossier. La jeune femme est finalement parvenue à s'extraire à temps du véhicule et s'est réfugiée dans un jardin proche.
Entre-temps, muni de sa manivelle, le second conducteur est parvenu à maîtriser l'homme aux couteaux. Prévenus par un témoin, les services de police ont envoyé une patrouille qui se trouvait à proximité et qui est arrivée très rapidement sur les lieux. Les fonctionnaires ont procédé à l'interpellation de l'agresseur et se sont portés au secours de la victime qui avait fait plusieurs pas en dehors de sa voiture et s'était écroulée dans une mare de sang. De son côté, l'agresseur a été placé, au vu de son état, en hospitalisation d'office. Il n'était donc pas sous le régime de la garde à vue et n'a pas pu être entendu.
Les raisons de cette attaque restaient encore floues hier soir. Mais le profil de l'agresseur commençait à se dessiner. Celui-ci, dont le parcours judiciaire est déjà chargé, serait sorti, selon l'un de ses proches, en début de semaine de l'hôpital psychiatrique Gérard-Marchant. Les médecins ont-ils autorisé cette sortie ou ce malade a-t-il fugué ? La question reste pour l'instant sans réponse.
Une scène rapide, d'une violence extrême, qui a laissé un homme entre la vie et la mort. L'agression perpétrée mercredi soir, à l'angle de l'avenue Jean-Baylet et de la rue Vincent-Auriol dans le quartier des Pradettes à Toulouse a traumatisé témoins et victimes. Une violence qui n'est pas sans poser de questions.
Il était aux environs de 21 h 30 lorsqu'un automobiliste, arrêté à un feu rouge, a soudain vu la portière conducteur de son véhicule, une Fiat Punto blanche, s'ouvrir. Il n'a pas eu le temps de réagir. Un homme, armé de plusieurs lames, a fondu sur lui et lui a asséné, avec acharnement, plusieurs coups au niveau du thorax et du cou.
Arrêtés derrière la victime, dans leur voiture, au même feu rouge, un homme et une femme ont assisté à la scène. Le conducteur est rapidement sorti pour aider la victime mais s'est retrouvé à son tour menacé par l'agresseur qui a brandi ses couteaux.
Il n'a pas attendu qu'il s'approche et est allé directement au coffre de sa voiture afin de se munir d'un cric pour se défendre face à l'assaillant. Dans ce laps de temps, le fou furieux a pénétré dans cette deuxième voiture, côté conducteur. La passagère se trouvait toujours dans l'habitacle. Il l'a menacée et aurait tenté de la frapper. «Elle s'est vue mourir», confiait hier une source proche du dossier. La jeune femme est finalement parvenue à s'extraire à temps du véhicule et s'est réfugiée dans un jardin proche.
Entre-temps, muni de sa manivelle, le second conducteur est parvenu à maîtriser l'homme aux couteaux. Prévenus par un témoin, les services de police ont envoyé une patrouille qui se trouvait à proximité et qui est arrivée très rapidement sur les lieux. Les fonctionnaires ont procédé à l'interpellation de l'agresseur et se sont portés au secours de la victime qui avait fait plusieurs pas en dehors de sa voiture et s'était écroulée dans une mare de sang. De son côté, l'agresseur a été placé, au vu de son état, en hospitalisation d'office. Il n'était donc pas sous le régime de la garde à vue et n'a pas pu être entendu.
Les raisons de cette attaque restaient encore floues hier soir. Mais le profil de l'agresseur commençait à se dessiner. Celui-ci, dont le parcours judiciaire est déjà chargé, serait sorti, selon l'un de ses proches, en début de semaine de l'hôpital psychiatrique Gérard-Marchant. Les médecins ont-ils autorisé cette sortie ou ce malade a-t-il fugué ? La question reste pour l'instant sans réponse.
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