mercredi 30 avril 2014

Haut-Doubs : le forcené armé abattu lors d'un échange de tirs

17h51 : Fin tragique, ici, à Touillon-et-Loutelet... Alors qu'un négociateur du GIGN tentait de s'approcher de l'homme reclus et armé, ce dernier a ouvert le feu sur les gendarmes qui se trouvaient en appui, vraisemblablement depuis sa fenêtre. Ceux-ci ont riposté. Leurs tirs ont été fatals. Le forcéné est décédé. La scène est en train d'être "gelée" pour les besoin de l'enquête judiciaire, qui sera menée par le parquet. " Triste fin ", témoigne un voisin de l'individu abattu.

17h23 : Une première série de deux coups de feu a été entendue. Le GIGN a prévenu de son approche: "Monsieur, vous êtes là ? ". Une petite explosion a alors été entendue, elle pourrait correspondre à l'entrée du GIGN sur les lieux. Ensuite quatre autres coups de feu ont été entendus. A cette heure, nous ne savons pas encore si des blessés sont à déplorer"

17h10 : Les troupes sont en attente. Un contact par téléphone a été établi avec le forcené. Ce qui laisse entrouverte la possibilité d'une sortie de crise plus diplomate.Le GIGN était déjà intervenu le 10 octobre 2013 en Franche-Comté, à Corre en Haute-Saône pour une prise d'otage.

16h45:  L'équipe du GIGN s'est déployée contre une remise en bois, avec plusieurs échelles et un curieux appareil pour ouvrir les volets. Deux snipers ont également pris position. Il a été demandé à toutes les personnes présentes, gendarmes compris, de ne pas se placer en visu de la bâtisse, pour interdire tout angle de tir éventuel du forcené. L'assaut semble imminent...

16h: Alors que la vingtaine d'hommes du GIGN présente à Touillon a repris l'opération en main, et multipliant les préparatifs, la compagne de l'individu barricadé à son domicile, est parvenu à le contacter par téléphone. " Il m'a dit qu'il ne se rendrait pas et que si un flic approchait, il lui tirerait dessus. Je l'ai eu une dizaine de minutes au téléphone. Il m'a paru déterminé ".


 15h10 : Une dizaine de véhicules du GIGN vient de se garer devant la mairie, en vue de pénétrer dans la maison. Un déploiement très impressionnant d'hommes cagoulés et d'armes et matériel divers.

14h39: Après deux premiers coups de feu mardi soir, puis deux autres il y a une heure, un 5e coup de feu vient d'être tiré au sol depuis la fenêtre du 7, rue de la Rochette par le forcené. Pour l'heure, il n' y a de blessé.

14h06 : L'homme retranché chez lui a en réalité tiré sur le sol, juste devant sa maison. Donc non loin des gendarmes du PSIG de Besançon, postés en faction dans la rue. Selon le capitaine Petit, avant de se retrancher à nouveau, il aurait déclaré : " A 50 ans on est vieux. Je suis entouré de flics, je sortirai les pieds devant." Le GIGN est toujours attendu sur place en vue d'une possible intervention.

13h50 : C'est l'effervescence rue de la Rochette suite aux deux coups de feu tirés par le forcené. Le périmètre de sécurité va être renforcé. A priori, aucun blessé n'est à déplorer. L'homme n'a répondu aux sommations des gendarmes de lâcher son arme et a refermé les volets. "Il ne se rendra pas. Quand il a une idée, il s'y tient", craint sa compagne.

13h40 : Premier signe de vie depuis hier soir. L'habitant vient d'entrouvrir un volet, et d'échanger quelques mots avec les hommes du PSIG de Besançon, qui ont relevé depuis peu leurs collègues de Mouthe. Deux coups de feu viennent de retentir. "Lâcher votre fusil", ordonnent les gendarmes.

12h 30 : L'individu retranché, un plâtrier âgé de 52 ans, refuse toujours tout contact, même auprès de sa compagne, qui est présente sur place depuis hier soir. Par précaution, une quinzaine de gendarmes bloque toujours le cœur du village. Deux négociateurs continuent, à intervalles réguliers, de tenter de renouer le dialogue. Un détachement du GIGN (basé près de Versailles) est attendu sur place au milieu de l'après-midi pour, si besoin, entrer dans la maison, située rue de la Rochette.

11h : Retranché depuis 19h mardi à son domicile, un habitant du Touillon refuse toute négociation. Il aurait tiré deux coups de feu dans la soirée d'hier. Dépressif il aurait annoncé qu'il souhaitait mettre fin à ses jours. Depuis le début de la matinée les négociateurs tentent de le raisonner en vain. Une intervention du Gign ou du PSIG est possible.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/30/haut-doubs-un-forcene-arme-retranche-chez-lui

Le GIGN vient d'arriver

14h39: Après deux premiers coups de feu mardi soir, puis deux autres il y a une heure, un 5e coup de feu vient d'être tiré  au sol depuis la fenêtre du 7, rue de la Rochette par le forcené. Pour il n' y a de blessé.

14h06 : L'homme retranché chez lui a en réalité tiré sur le sol, juste devant sa maison. Donc non loin des gendarmes du PSIG de Besançon, postés en faction dans la rue. Selon le capitaine Petit, avant de se retrancher à nouveau, il aurait déclaré : " A 50 ans on est vieux. Je suis entouré de flics, je sortirai les pieds devant. " Plus que jamais, le GIGN est toujours attendu sur place en vue d'une possible intervention.

13h50 : C'est l'effervescence aux abords du 7, rue de la Rochette suite aux deux coups de feu tirés par le forcené. Le périmètre de sécurité va être renforcé. A priori, aucun blessé n'est à déplorer. L'homme n'a répondu aux sommations des gendarmes de lâcher son arme et a refermé les volets. "Il ne se rendra pas. Quand il a une idée, il s'y tient", craint sa compagne.
13h40 : Premier signe de vie depuis hier soir. L'habitant vient d'entrouvrir un volet, et d'échanger quelques mots avec les hommes du PSIG de Besançon, qui ont relevé depuis peu leurs collègues de Mouthe. Deux coups de feu viennent de retentir. "Lâcher votre fusil", ordonnent les gendarmes.

Actualisé à 12h 30 : L'individu retranché, un plâtrier âgé de 52 ans, refuse toujours tout contact, même auprès de sa compagne, qui est présente sur place depuis hier soir. Par précaution, une quinzaine de gendarmes bloque toujours le cœur du village. Deux négociateurs continuent, à intervalles réguliers, de tenter de renouer le dialogue. Un détachement du GIGN (basé près de Versailles) est attendu sur place au milieu de l'après-midi pour, si besoin, entrer dans la maison, située rue de la Rochette.


Actualisé à 11h : Retranché depuis 19h mardi à son domicile, un habitant du Touillon refuse toute négociation. Il aurait tiré deux coups de feu dans la soirée d'hier. Dépressif il aurait annoncé qu'il souhaitait mettre fin à ses jours. Depuis le début de la matinée les négociateurs tentent de le raisonner en vain. Une intervention du Gign ou du PSIG est possible.
Notre édition du jour:
Un homme d‘une cinquantaine d’années était toujours retranché hier soir à son domicile de Touillon-Loutelet, non loin de la station de Métabief, dans le Haut-Doubs, après avoir tiré deux coups de feu.
Selon des témoins, l’individu, seul, sans doute sous l’emprise de l’alcool, aurait tiré deux coups de fusil vers 19 h. Le premier dans sa voiture et le second dans le vide avant de se retrancher à son domicile.
Le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) est arrivé sur les lieux, avant de boucler tous les accès du village pour des raisons de sécurité.
Hier soir  l’incident n’avait fait aucune victime. Les forces de l’ordre sont toujours sur place ce matin. 

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/30/haut-doubs-un-forcene-arme-retranche-chez-lui

La Rochelle : trois jeunes en canoë coincés dans la vase du Vieux Port

L'aventure s'est terminée dans la vase pour trois concurrents du quinzième Raid des bords de mer en canoë, organisé ce mercredi matin à La Rochelle.
Piégés par la marée, ils n'ont pu terminer l'épreuve ... dans les délais, obligés qu'ils étaient d'attendre le retour de l'eau. Mais tout s'est passé dans la bonne humeur, devant les touristes.
Les jeunes garçons n'ont pas paniqué, d'autant qu'un contrôleur de course, dans un bateau moteur, attendait lui aussi à quelques mètres que l'eau revienne

http://www.sudouest.fr/2014/04/30/la-rochelle-trois-jeunes-en-canoe-coinces-dans-la-vase-du-vieux-port-1540605-1391.php

Haut-Doubs : un forcené armé retranché chez lui depuis mardi soir

13h40 : Premier signe de vie depuis hier soir. L'habitant vient d'entrouvrir un volet, et d'échanger quelques mots avec les hommes du PSIG de Besançon, qui ont relevé depuis peu leurs collègues de Mouthe. Deux coups de feu viennent de retentir. "Lâcher votre fusil", ordonnent les gendarmes.

Actualisé à 12h 30 : L'individu retranché, un plâtrier âgé de 52 ans, refuse toujours tout contact, même auprès de sa compagne, qui est présente sur place depuis hier soir. Par précaution, une quinzaine de gendarmes bloque toujours le cœur du village. Deux négociateurs continuent, à intervalles réguliers, de tenter de renouer le dialogue. Un détachement du GIGN (basé près de Versailles) est attendu sur place au milieu de l'après-midi pour, si besoin, entrer dans la maison, située rue de la Rochette.


Actualisé à 11h : Retranché depuis 19h mardi à son domicile, un habitant du Touillon refuse toute négociation. Il aurait tiré deux coups de feu dans la soirée d'hier. Dépressif il aurait annoncé qu'il souhaitait mettre fin à ses jours. Depuis le début de la matinée les négociateurs tentent de le raisonner en vain. Une intervention du Gign ou du PSIG est possible.


Un homme d‘une cinquantaine d’années était toujours retranché hier soir à son domicile de Touillon-Loutelet, non loin de la station de Métabief, dans le Haut-Doubs, après avoir tiré deux coups de feu.
Selon des témoins, l’individu, seul, sans doute sous l’emprise de l’alcool, aurait tiré deux coups de fusil vers 19 h. Le premier dans sa voiture et le second dans le vide avant de se retrancher à son domicile.
Le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) est arrivé sur les lieux, avant de boucler tous les accès du village pour des raisons de sécurité.
Hier soir  l’incident n’avait fait aucune victime. Les forces de l’ordre sont toujours sur place ce matin

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/30/haut-doubs-un-forcene-arme-retranche-chez-lui