Un Théopolitain de 18 ans arrêté et placé en garde à vue
En effet, le 4 juillet dernier, à Lavilledieu-du-Temple, un couple qui rentre à son domicile après s’être absenté pour faire les courses, découvre que leur portail a été fracturé et qu’un véhicule stationne dans la cour de leur villa, au lieu-dit «Meauzaguel» (notre édition du 5 juillet). À l’intérieur de leur habitation, un duo de cambrioleur qui visiblement ne s’attendait pas à ce que les propriétaires réapparaissent aussi vite. Ne s’en laissant pas compter, le propriétaire des lieux décidait de barrer l’entrée de son domicile avec son véhicule, bloquant l’automobile des cambrioleurs. Ce qui n’empêchait pas les malfrats de tenter de forcer le passage en percutant son véhicule et en assenant des coups au locataire des lieux tout en les menaçant avec une arme. Un laps de temps durant lequel, les gendarmes avertis du cambriolage en cours, parvenaient sur les lieux, obligeant les deux malfaiteurs à prendre la fuite à pied à travers champs. Le plan épervier déclenché, un hélicoptère de la gendarmerie décollait de Toulouse pour quadriller la zone alors qu’à pied une équipe cynophile tentait de remonter la trace des fugitifs. Peine perdue, les deux cambrioleurs qui étaient parvenus à regagner leur domicile proche de Lavilledieu-du-Temple ou à se dissimuler dans la nature, disparaissaient. Les enquêteurs n’ayant pas souhaité communiquer sur leurs investigations, il est difficile de savoir ce qui les a conduits à arrêter un jeune Théopolitain de 18 ans. Les victimes qui ont bien aperçu leurs agresseurs, ces derniers ayant agi à visage découvert, ont vraisemblablement passé en détail les planches contacts des délinquants déjà répertoriés dans leur service. À défaut de les avoir identifiés, ils ont permis aux enquêteurs de réaliser un portrait - robot des deux individus. Dans le même temps, le retour des analyses de la police scientifique du véhicule des cambrioleurs et des éventuelles traces ADN laissés sur la victime des coups, ont ouvert d’autres pistes. Pas suffisante, pour l’heure, le mis en cause interpellé pour vol aggravé avec arme et violence ayant été remis en liberté au terme de ses auditions dans les locaux du Gélac.Un présumé complice des braqueurs interrogé à la BR
Quelques jours plus tôt, c’est un présumé complice des deux braqueurs du tabac de la Garenne (nos éditions des 3, 5 mars, 15 et 18 juin) qui avaient agi avec un quad qui a été interpellé par les gendarmes castelsarrasinois. Placé en garde à vue dans les locaux de la BR, l’individu âgé de 19 ans a été aussi relâché au terme de son interrogatoire.http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/03/1683359-castelsarrasin-presumes-braqueurs-arretes-et-relaches.html
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