Le gendarme, armé de son 9 mm de service, et l'un de ses collègues, équipé d'un Taser, se sont trouvés face à l'homme après être parvenus à s'introduire dans la maison, d'où le forcené avait ouvert le feu. Ils ont tous deux tirés sur lui alors qu'il pointait son arme vers eux malgré leurs sommations, selon les premiers éléments de l'enquête. La caméra équipant le Taser «montre clairement un cas de légitime défense», a précisé le procureur de la République de Lorient, Alexis Bouroz.
Le forcené, qui était sorti d'hôpital psychiatrique en mars, avait laissé une lettre d'adieu au domicile de sa mère. Il était équipé d'une arme à poudre noire, en vente libre mais «potentiellement létale», selon le parquet.
Le forcené, qui était sorti d'hôpital psychiatrique en mars, avait laissé une lettre d'adieu au domicile de sa mère. Il était équipé d'une arme à poudre noire, en vente libre mais «potentiellement létale», selon le parquet.
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