"On bloque tout,
toute l'institution, les extractions, les livraisons, les parloirs", tonne
Laurent Scassellati, secrétaire général de l'union régionale Ufap-Unsa. Une
centaine de surveillants ont, dit-il, déposé des palettes en bois et des pneus
lundi matin devant l'entrée de la maison d'arrêt de Sequedin. Cette prison du Nord de
la France compte quelque 800 détenus, parmi lesquels figurait un certain Rédoine
Faïd, avant qu'il ne se fasse la belle à coups d'explosifs et de prise d'otages
le 13 avril dernier....
Les agents pénitentiaires, qui n'ont pas le droit de faire grève, réclament notamment une amélioration de la sécurité des parloirs ainsi qu'une augmentation des effectifs. Les surveillants présents lundi matin devant la maison d'arrêt sont en repos, en congés annuels ou prennent leur service à 13 heures, a précisé le responsable syndical.
Le 13 avril, Redoine Faïd, 40 ans, avait pris en otage quatre surveillants à l'aide d'une arme et d'explosifs alors qu'il se rendait au parloir. Ayant réussi à prendre la fuite en voiture, il est toujours activement recherché.
Les agents pénitentiaires, qui n'ont pas le droit de faire grève, réclament notamment une amélioration de la sécurité des parloirs ainsi qu'une augmentation des effectifs. Les surveillants présents lundi matin devant la maison d'arrêt sont en repos, en congés annuels ou prennent leur service à 13 heures, a précisé le responsable syndical.
Le 13 avril, Redoine Faïd, 40 ans, avait pris en otage quatre surveillants à l'aide d'une arme et d'explosifs alors qu'il se rendait au parloir. Ayant réussi à prendre la fuite en voiture, il est toujours activement recherché.
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