Un jeune motard de 19 ans, qui s'était aventuré, parmi d'autres, dans le jardin public, pourtant interdit par arrêté, n'a pas supporté son interpellation
Un contrôle de gendarmerie a mal fini mercredi soir vers 17 h 15 dans le jardin public d'Oloron. Les gendarmes du PSIG se sont approchés d'un groupe de jeunes motards qui s'étaient aventurés dans le jardin pourtant interdit par arrêté
Le Psig a notamment repéré un jeune homme de 19 ans connu des services pour de nombreuses conduites sans casque. Ce pilote ne s'en est pas laissé conter, loin de là. Il a d'abord invectivé les gendarmes en les insultant puis s'est débattu quand ils ont décidé de l'interpeller. De rage, le garçon a adressé un coup de tête sur la voiture des militaires avant d'être complètement maîtrisé.
Le conducteur récalcitrant a été emmené en garde à vue à la gendarmerie. Ils devraient faire l'objet de poursuites pour outrage et rébellion. Les gendarmes du Psig ont déposé plainte contre lui.
La situation des jeunes motards est un problème d'incivisme récurrent d'Oloron où les gendarmes sont régulièrement amenés à intervenir.
http://www.sudouest.fr/2016/03/31/oloron-sainte-marie-de-rage-il-donne-un-coup-de-tete-a-la-voiture-des-gendarmes-2317207-4344.php
Il n'aurait pas supporté que sa femme envisage de quitter le domicile
L'autopsie des corps de René et Maryvonne Gaillard, tous deux 73 ans, retrouvés morts à leur domicile de Port-d'Envaux lundi près de Saintes (Charente-Maritime), a confirmé "l'hypothèse d'un homicile suivi d'un suicide", selon le parquet de Saintes.
René Gaillard n'aurait pas supporté que sa femme envisage de quitter le domicile. Le jour du drame, elle était en train de préparer ses valises. René Gaillard a ouvert le feu sur son épouse et retourné l'arme contre lui. Le couple rencontrait des difficultés depuis de longues années
http://www.sudouest.fr/2016/03/31/charente-maritime-l-homme-a-bien-tue-sa-femme-avant-de-se-suicider-2317327-1391.php
Relaxée en première instance, une institutrice et directrice d'école de Haute-Vienne était jugée hier en appel pour violences morales et physiques sur une vingtaine de ses élèves de maternelle âgés de 3 à 5 ans. Le ministère public a requis contre l'enseignante, toujours sous le coup d'une mesure de suspension conservatoire, une peine de 18 mois de prison avec sursis et l'interdiction à vie d'exercer une profession en lien avec des enfants. La décision a été mise en délibéré au 27 mai. Mettant en lumière "sa pédagogie de la terreur", son comportement "générateur de violence" la présidente Johanne Perrier et l'avocat général Georges Borg n'ont pas fait ciller l'institutrice, qui a soutenu comme en première instance être victime d'une "machination". "Ce n'est que mensonges et exagérations", a-t-elle répété.
Mais le feu incessant de questions a permis d'éclairer la personnalité de "maîtresse Delphine", tels que l'appelaient les enfants, laissant entendre que brimades et humiliations contribuaient à pousser les enfants "à l'autonomie" et à "vaincre leurs peurs". Une quinzaine d'avocats, une vingtaine de parties civiles, une quarantaines de parents et huit témoins de l'entourage professionnel de l'institutrice ont raconté à la barre comment étaient "terrorisés" les enfants de la petite section de maternelle de l'école de Feytiat, près de Limoges.
Six assistantes maternelles, au contact quotidien de l'institutrice de 49 ans, ont évoqué des "hurlements", "cheveux tirés", "claques", "tapes". "On ne savait pas quoi faire pour que ça s'arrête, c'était tous les jours", a témoigné l'une d'entre elles. "Je n'avais jamais entendu au cours de ma carrière des mots pareils dans la bouche d'une enseignante. Je suis de la vieille école, je suis pour la rigueur, mais là c'était de la maltraitance", a déclaré une assistante avec 30 années d'expérience.
L'affaire avait éclaté au début de l'été 2015 quand des parents avaient constaté que le comportement de leurs enfants se dégradait (peur irrationnelle, refus de manger, terreurs nocturnes, draps souillés...). Ils avaient alerté la hiérarchie de l'institutrice mais, en l'absence de sanctions disciplinaires, ils avaient porté plainte en février 2015.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Huit personnes, dont six enfants, ont été "sérieusement intoxiquées" lors de l'incendie d'un appartement ce soir dans le centre de Marseille, a-t-on appris auprès des pompiers. Ce "violent feu d'appartement" s'est déclenché peu après 20h00 au troisième étage d'un immeuble qui en compte 5 et qui a été évacué, ont expliqué les marins pompiers dans un communiqué.
Huit personnes ont été "transportées vers des centres hospitaliers pour intoxication sérieuse au monoxyde de carbone", et parmi eux "6 enfants âgés de 2 à 9 ans, un adolescent et une femme enceinte", a précisé la même source. Environ 60 pompiers sont intervenus pour éteindre le feu et porter secours aux habitants de l'immeuble
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Aurore Halm, qui réside depuis huit ans à Amoncourt, un village de Haute-Saône fort de 300 habitants, est « en colère ». Elle ne pardonne pas une erreur qu’elle juge « inadmissible ». Mardi soir, elle a d’ailleurs déposé plainte auprès des services de gendarmerie de Vesoul pour « mise en danger d’autrui » après que son fils, Enzo, a passé une partie de la matinée, oublié dans un car scolaire appartenant à la société privée Dahn Tourisme.
Vers 8 h 20, en ce lendemain de jour férié, la nourrice avait accompagné l’enfant, âgé de quatre ans, jusqu’au car qui assure la navette vers l’école maternelle de Fleurey-lès-Faverney, dans le cadre d’un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Mais alors que les écoliers, arrivés à destination, descendaient un à un du véhicule, Enzo est resté à l’intérieur.
« Elle ne s’est pas aperçue que mon fils s’était endormi sur un siège »
Ne se doutant de rien, la conductrice, pourtant expérimentée, a regagné son domicile, situé à quelques kilomètres de là. Elle a fermé les portes du bus, abandonnant sans le savoir le bambin, seul sur un siège. Jusqu’à 11 h 15. C’est en effet au moment où elle a repris le volant pour aller récupérer les enfants à Fleurey-lès-Faverney, qu’elle a constaté la présence du garçonnet. Celui-ci a été ramené en bonne santé auprès de sa nourrice, à l’issue du trajet retour.
La maman d’Enzo, qui dénonce également « un manque de vigilance total de l’école » qui ne l’aurait pas prévenu de l’absence de son fils, n’a appris les faits qu’à 13 h 30, lorsque la conductrice s’est elle-même présentée à sa porte pour lui donner des explications. Aurore Halm s’apprêtait à partir pour son travail, espace de la Motte à Vesoul. « Elle est venue me dire qu’elle avait fait “une petite boulette”, qu’elle ne s’était pas aperçue que mon fils s’était endormi sur un siège. Il aurait pu être kidnappé. C’est scandaleux », estime-t-elle. Physiquement, Enzo « va bien ». Psychologiquement, « il a un peu souffert », ajoute la jeune femme, âgée de 33 ans, qui a tenu à dénoncer « les faits pour que ça ne se reproduise plus ». Pour sa négligence, la conductrice pourrait être lourdement sanctionnée par son employeur.
« L’incident, qui reste heureusement très rare, n’aurait jamais dû se produire », réagit Laurent Dargent. En charge des services des transports au conseil départemental de Haute-Saône, il rappelle qu’entre 350 et 360 véhicules assurent chaque jour 580 circuits de transports scolaires, qui vont des écoles aux lycées : « Des consignes claires sont régulièrement données. Les chauffeurs ont pour obligation de faire le tour de leur bus avant de le quitter ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2016/03/31/haute-saone-un-enfant-oublie-dans-un-car-scolaire
Une enquête en flagrance a été ouverte pour "enlèvement et séquestration suivie de mort", après qu'un jeune homme a été retrouvé mort ce matin dans le centre de Montpellier, a indiqué le procureur lors d'un point de presse tenu sur place. "Les secours ont été appelés vers 11h et sur place, les pompiers ont retrouvé un homme blessé âgé de 21 ans, dont le pronostic vital n'est pas engagé, et un homme inanimé qui n'a pu être ramené à la vie", a précisé à la presse le procureur de la République à Montpellier, Christophe Barret.
Le jeune homme décédé, retrouvé à proximité de la Maison de quartier Jacques Prévert de la petite cité Astruc, "n'a pas été identifié", mais il y avait "des traces de violences sur le corps", a-t-il dit. "Il n'y a que l'autopsie qui pourra nous donner les causes de la mort", a dit le procureur refusant de confirmer des informations obtenues de sources proches du dossier indiquant que le jeune homme, qui ne serait pas majeur, avait été battu à mort et jeté d'une voiture en marche.
M. Barret a également indiqué qu'une personne avait été placée en garde à vue, en refusant de confirmer ou d'infirmer qu'il s'agissait du blessé. "Je ne vous donne pas davantage d'éléments car il y a une enquête criminelle en cours", a-t-il répondu aux questions des journalistes. Le SRPJ de Montpellier a été saisi de l'enquête.
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Un homme de 49 ans s'est retranché chez lui à Guemps, dans le Pas-de-Calais, hier après-midi et affirmait être en détention d'une arme, rapporte La Voix du Nord. Les gendarmes ont encerclé la maison, d'où il a fini par sortir afin d'essayer de se sauver.
Emmené à la gendarmerie de Oye-Plage afin d'être entendu, il a été pris en charge par les pompiers qui l'ont transporté à l'hôpital de Calais car il se ne sentait pas bien.
Un élu local affirme que ce père de famille est "un homme fragile, qui a eu un problème privé" qui réside dans la commune depuis une quinzaine d'années
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Dimanche, un jeune de 25 ans a été écrasé à deux reprises par un véhicule. L'auteur des faits est en fuite
Il n'a toujours pas été entendu et il n'est même pas sûr que son témoignage puisse considérablement faire avancer l'enquête. Un Bordelais de 25 ans était toujours hospitalisé dans un état préoccupant, hier, après avoir été percuté et écrasé deux fois par une voiture, dimanche matin place André-Meunier à Bordeaux.
Mobile des plus vagues
Selon les premiers éléments vérifiés dont disposent les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire, une altercation entre clients de la discothèque Black Pepper est survenue au petit matin. Le mobile de la dispute reste des plus vagues. Priés de sortir de l'établissement, les jeunes ont continué leur bagarre à l'extérieur. Dans la bousculade ou pour le voler, un jeune a arraché le collier d'un autre, et en réplique, a été mordu à l'oreille. Pour une raison pour l'heure incompréhensible, un de ses amis a grimpé dans une voiture et foncé sur un groupe. Certains ont pu s'écarter à temps, mais pas le Bordelais de 25 ans qui a été renversé et happé sous le véhicule.
Le chauffard n'a pas pris la fuite tout de suite puisqu'il a pris soin de faire demi-tour et d'écraser une deuxième fois le Bordelais avant de percuter une voiture en stationnement. Dans l'accrochage, son véhicule, qui a disparu dans la nuit, a perdu sa plaque d'immatriculation. Laissée pour morte, la victime a été conduite aux urgences de l'hôpital Pellegrin où son pronostic vital ne serait plus engagé.
Plusieurs témoins ont déjà été entendus, d'autres, comme le gérant et le portier de la boîte de nuit le seront prochainement. Le flou et la divergence des témoignages semblent traduire à la fois une grande fatigue des personnes interrogées, un manque de coopération ou de la mauvaise volonté et une imprégnation alcoolique voire une consommation de produits stupéfiants. Des dépistages, qui n'ont pas encore révélé leurs conclusions, ont été faits en ce sens.
La voiture a été retrouvée dimanche après-midi cours Victor-Hugo à Bordeaux et a fait l'objet de prélèvements de police technique et scientifique. Il s'agissait d'une voiture de location. Seule certitude, le jeune qui a été mordu à l'oreille, un habitant du Val d'Oise de 23 ans, faisait partie du même groupe que le chauffard qui court toujours. Il a été placé en garde à vue et devrait être déféré pour vol, violences en réunion et complicité de tentative de meurtre.
http://www.sudouest.fr/2016/03/29/tentative-de-meurtre-le-chauffard-toujours-recherche-2315503-2780.php
Un corps, en état de décomposition, a été retrouvé cet après-midi dans l'Ill, à hauteur du quai de l'Ill à Sélestat. La victime a été repêchée par les plongeurs de Finkwiller. Il s'agirait d'un homme dont l'âge est encore indéterminé.
C'est lors d'un nettoyage des berges que les membres du club de canoë-kayak ont découvert un corps dans l'Ill à hauteur du Quai de l'Ill derrière la salle de spectacle Les Tanzmatten.
Le cadavre en état de décomposition a été repêché par les plongeurs de Finkwiller. Il s'agirait d'un homme d'âge indéterminé (70 ans environ selon les pompiers).
La police municipale et le maire de la commune Marcel Bauer se sont rendus sur place.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/selestat-un-corps-retrouve-dans-l-ill-961183.html
Trois policiers d’une compagnie républicaine de sécurité (CRS) de Grenoble, qui rentraient de leur vacation de surveillance à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, ont sauvé jeudi soir un nourrisson en détresse respiratoire dans la circulation parisienne
Ces trois policiers de la compagnie CRS de Grenoble venaient de terminer leur vacation, tenue de 15 à 23 heures à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, dans le cadre du renforcement de la sécurité après les attentats de Bruxelles, lorsque, bloqués dans la circulation sur le boulevard Mortier dans le 20e arrondissement de Paris, ils ont été alertés par une voiture klaxonnant et appelant à l’aide.
"C’était un père affolé qui nous a expliqué que son enfant ne respirait plus", a raconté Julien, l’un des trois policiers. Le bébé, âgé d’une semaine, se trouvait avec sa mère à l’arrière du véhicule. "Le nourrisson était en détresse respiratoire. Nous lui avons fait une insufflation, il a repris des couleurs", a expliqué Julien, qui, comme ses collègues Thibault et Sébastien, a suivi une formation de secouriste.
Les faits se déroulant devant les locaux de la DGSE (Direction régionale de la sécurité extérieure), les CRS ont pu y mettre le nourrisson au chaud et lui prodiguer les premiers soins en attendant l’arrivée des secours. Le bébé a été placé en observation pour cinq jours, selon Julien, qui a pris de ses nouvelles vendredi auprès de la mère.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2016/03/25/3-crs-de-la-compagnie-de-grenoble-sauvent-un-nourrisson-en-detresse-respiratoire