Deux cas de la maladie du légionnaire ont été détectés sur la commune de Saint-Laurent-du-Var.
En général, la bactérie Legionella présente des risques seulement pour des personnes âgées dont la santé est précaire.
La maladie ne se transmet pas de personne à personne, mais par inhalation de particules d’eau contaminée provenant, le plus souvent, de systèmes de refroidissement des bâtiments.
D'ailleurs, en prévention, le centre commercial Cap 3000 a reçu consigne vendredi soir d’éteindre tous ses systèmes de climatisation, même si les deux cas détectés ne l’ont pas été en son sein.
Les climatisations ont été nettoyées, désinfectées et des prélèvements ont été effectués.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/deux-cas-de-legionellose-a-saint-laurent-du-var.952418.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
samedi 4 août 2012
Le retraité cultive 77 pieds de cannabis chez lui
C'est par un renseignement anonyme que le groupe stupéfiant de la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Albi s'est rendu mercredi au domicile d'un retraité âgé de 74 ans, à Saint-Juéry.
Arrivés sur place, les fonctionnaires de police ont eu la grande surprise de voir que le septuagénaire n'était autre qu'un cultivateur de résine de cannabis ! Pas moins de 77 pieds en développement se trouvaient dans la propriété de celui qui se dit être maraîcher depuis une douzaine d'années.
Placé en garde à vue pour trafic de stupéfiants, l'homme a reconnu les faits. À la retraite depuis l'âge de 52 ans, il cultiverait cette plante depuis 2 ans. Au cours de son audition, il est cependant resté discret quant à l'identification de son réseau de revente. Lors de son interpellation, les policiers ont également trouvé une somme d'argent conséquente : 10 000€ en liquide. Des espèces, qu'il admet avoir gagnées grâce à la vente de produits maraîchers sur les marchés. Ces derniers lui serviraient à financer des travaux domestiques.
Entendu pour travail illicite, le retraité a finalement été laissé libre hier par le commissariat d'Albi. Une enquête a été ouverte pour tenter d'identifier les bénéficiaires du cannabis.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/04/1413167-albi-le-retraite-cultive-77-pieds-de-cannabis-chez-lui.html
Arrivés sur place, les fonctionnaires de police ont eu la grande surprise de voir que le septuagénaire n'était autre qu'un cultivateur de résine de cannabis ! Pas moins de 77 pieds en développement se trouvaient dans la propriété de celui qui se dit être maraîcher depuis une douzaine d'années.
Placé en garde à vue pour trafic de stupéfiants, l'homme a reconnu les faits. À la retraite depuis l'âge de 52 ans, il cultiverait cette plante depuis 2 ans. Au cours de son audition, il est cependant resté discret quant à l'identification de son réseau de revente. Lors de son interpellation, les policiers ont également trouvé une somme d'argent conséquente : 10 000€ en liquide. Des espèces, qu'il admet avoir gagnées grâce à la vente de produits maraîchers sur les marchés. Ces derniers lui serviraient à financer des travaux domestiques.
Entendu pour travail illicite, le retraité a finalement été laissé libre hier par le commissariat d'Albi. Une enquête a été ouverte pour tenter d'identifier les bénéficiaires du cannabis.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/04/1413167-albi-le-retraite-cultive-77-pieds-de-cannabis-chez-lui.html
Accident monstre sur l'A61 près de Carcassonne : un mort, 14 blessés
Un terrible carambolage a coûté, hier, la vie à une touriste à hauteur de Trèbes. On déplore aussi de nombreux blessés, dont un grièvement atteint. L’autoroute a été fermée.
Un après-midi de cauchemar : le début du grand chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens a viré au pire des scénarios, hier après-midi, entre Toulouse et Narbonne. Après des bouchons successifs, provoqués par un incendie déclenché en milieu d’après-midi vers Lézignan-Corbières, le pire est survenu en fin d’après-midi.
Une quinzaine de véhicules impliqués
Vers 17 h, une quinzaine de véhicules ont été impliqués dans un carambolage monstre, juste après la sortie n° 24 de Carcassonne-Est, alors que la circulation sur l’A61 était déjà particulièrement chargée. Selon les premiers éléments de l’enquête menée par les gendarmes audois, une bicyclette se serait décrochée d’un porte-vélo, tombant du toit d’une voiture sur l’autoroute, provoquant freinages brusques et collisions en chaîne. Au total, ce carambolage a fait un mort et quatorze blessés.
La victime est une dame de 62 ans, passagère arrière d’un véhicule immatriculé en Gironde, parti en tête à queue et en tonneau.
Une personne blessée grièvement
Le pronostic vital serait engagé pour l’un des quatorze blessés. Les sapeurs-pompiers de Carcassonne, Montréal et Limoux ont été mobilisés pour transporter les blessés. Et l’accident, conjugué à la durée de l’intervention des secours, a entraîné par ricochet de lourdes conséquences pour les automobilistes et les vacanciers.
Très vite, les deux entrées d’autoroute à Carcassonne ont été fermées à la circulation ; les véhicules arrivant de Haute-Garonne étant quant à eux invités à sortir à Bram. Impossible donc de prendre la direction de la Méditerranée pour tous les conducteurs arrivant du Sud-Ouest. Le trafic a été dévié par les routes nationales et départementales, qui ont eu bien du mal à absorber ces milliers de véhicules.
Dans le même temps, un bouchon, dit de “curiosité”, s’est créé dans le sens Narbonne-Toulouse, à hauteur de l’accident.
La circulation était rétablie sur une voie à 21 h et sur les deux voies une trentaine de minutes plus tard.
http://www.midilibre.fr/2012/08/03/,543485.php
Un après-midi de cauchemar : le début du grand chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens a viré au pire des scénarios, hier après-midi, entre Toulouse et Narbonne. Après des bouchons successifs, provoqués par un incendie déclenché en milieu d’après-midi vers Lézignan-Corbières, le pire est survenu en fin d’après-midi.
Une quinzaine de véhicules impliqués
Vers 17 h, une quinzaine de véhicules ont été impliqués dans un carambolage monstre, juste après la sortie n° 24 de Carcassonne-Est, alors que la circulation sur l’A61 était déjà particulièrement chargée. Selon les premiers éléments de l’enquête menée par les gendarmes audois, une bicyclette se serait décrochée d’un porte-vélo, tombant du toit d’une voiture sur l’autoroute, provoquant freinages brusques et collisions en chaîne. Au total, ce carambolage a fait un mort et quatorze blessés.
La victime est une dame de 62 ans, passagère arrière d’un véhicule immatriculé en Gironde, parti en tête à queue et en tonneau.
Une personne blessée grièvement
Le pronostic vital serait engagé pour l’un des quatorze blessés. Les sapeurs-pompiers de Carcassonne, Montréal et Limoux ont été mobilisés pour transporter les blessés. Et l’accident, conjugué à la durée de l’intervention des secours, a entraîné par ricochet de lourdes conséquences pour les automobilistes et les vacanciers.
Très vite, les deux entrées d’autoroute à Carcassonne ont été fermées à la circulation ; les véhicules arrivant de Haute-Garonne étant quant à eux invités à sortir à Bram. Impossible donc de prendre la direction de la Méditerranée pour tous les conducteurs arrivant du Sud-Ouest. Le trafic a été dévié par les routes nationales et départementales, qui ont eu bien du mal à absorber ces milliers de véhicules.
Dans le même temps, un bouchon, dit de “curiosité”, s’est créé dans le sens Narbonne-Toulouse, à hauteur de l’accident.
La circulation était rétablie sur une voie à 21 h et sur les deux voies une trentaine de minutes plus tard.
http://www.midilibre.fr/2012/08/03/,543485.php
Marans (17) : il poursuit un voleur au volant de son tracteur
Hier, un homme de 43 ans a pris la fuite dans un fourgon, pourchassé par un agriculteur furieux au volant de son tracteur.
L'objet de sa colère : il l'a surpris en flagrant délit de vol dans son local agricole, cherchant à subtiliser des graines et des boissons vers 11 heures du matin.
À sa vue, le propriétaire des lieux a donné l'alerte aux gendarmes, tout en partant à ses trousses en direction de la Vendée.
La filature sera de courte durée, puisque quinze minutes plus tard et 12 militaires appelés en renfort, l'homme est arrêté pour être placé en garde à vue à Marans.
http://www.sudouest.fr/2012/08/03/marans-17-il-poursuit-un-voleur-au-volant-de-son-tracteur-786402-1435.php
L'objet de sa colère : il l'a surpris en flagrant délit de vol dans son local agricole, cherchant à subtiliser des graines et des boissons vers 11 heures du matin.
À sa vue, le propriétaire des lieux a donné l'alerte aux gendarmes, tout en partant à ses trousses en direction de la Vendée.
La filature sera de courte durée, puisque quinze minutes plus tard et 12 militaires appelés en renfort, l'homme est arrêté pour être placé en garde à vue à Marans.
http://www.sudouest.fr/2012/08/03/marans-17-il-poursuit-un-voleur-au-volant-de-son-tracteur-786402-1435.php
vendredi 3 août 2012
Vol de cuivre/Orlyval : 5 interpellations
Cinq ressortissants roumains d'une vingtaine d'années ont été placés en garde à vue pour avoir dérobé plus de 1,3 million d'euros de câbles en cuivre sur l'Orlyval, la navette reliant Paris à l'aéroport d'Orly, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.
Les cinq hommes sont soupçonnés d'avoir, entre février et juin 2012, dérobé à neuf reprises des câbles en cuivre au dépôt et sur les voies de l'Orlyval, provoquant des retards de la navette, a indiqué une source judiciaire. De nuit, ils découpaient les grillages et volaient des câbles sur les voies.
Une source proche de l'enquête a précisé que trois d'entre eux ont été interpellés jeudi matin dans un camp de Roms de Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Les deux autres ont été extraits de la prison de Fresnes, dans le Val-de-Marne, où ils se trouvaient depuis le mois de juillet pour proxénétisme.
Agression près de la RN2 : un appel à témoins
Les gendarmes soissonnais ne disposent, pour l'heure, que de très peu d'éléments sur le (ou les) auteur(s) de l'agression dont a été victime une jeune femme, vendredi 27 juillet, près de Coyolles (notre édition du 29 juillet). Ils ont donc décidé de lancer un appel à témoins.
Vendredi dernier, ce sont des automobilistes circulant sur la RN2 qui avaient, vers 7 h 30, donné l'alerte. Une jeune femme errait, hagarde, en bordure de la nationale, tout près du passage à niveau de Coyolles, entre Villers-Cotterêts et Paris, à la limite du département de l'Oise. Elle était couverte de traces de coups, tant sur le visage que sur le reste du corps, après avoir été molestée alors qu'elle était sur la RD88, à deux pas de la Nationale 2, vers Chavres et Ivors.
Les militaires de la brigade de recherches de Soissons, qui travaillent sur cette affaire, savent qu'elle a été agressée précisément au carrefour des laies des Bourguignons, résineux et Montlevroux entre 6 h 30 et 7 heures.
Les gendarmes invitent toutes les personnes qui ont circulé dans ce secteur ce matin-là et qui pourraient leur apporter des éléments (véhicule, signalement d'un individu, etc.), à se rapprocher d'eux, en contactant la brigade de recherches de Soissons : Tél. 03.23.53.12.85. ou par courrier électronique : br.soissons@gendarmerie.interieur.gouv.fr
A noter que la victime est toujours hospitalisée à Compiègne où elle a été transportée, vendredi dernier
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/agression-pres-de-la-rn2-un-appel-a-temoins
Vendredi dernier, ce sont des automobilistes circulant sur la RN2 qui avaient, vers 7 h 30, donné l'alerte. Une jeune femme errait, hagarde, en bordure de la nationale, tout près du passage à niveau de Coyolles, entre Villers-Cotterêts et Paris, à la limite du département de l'Oise. Elle était couverte de traces de coups, tant sur le visage que sur le reste du corps, après avoir été molestée alors qu'elle était sur la RD88, à deux pas de la Nationale 2, vers Chavres et Ivors.
Les militaires de la brigade de recherches de Soissons, qui travaillent sur cette affaire, savent qu'elle a été agressée précisément au carrefour des laies des Bourguignons, résineux et Montlevroux entre 6 h 30 et 7 heures.
Les gendarmes invitent toutes les personnes qui ont circulé dans ce secteur ce matin-là et qui pourraient leur apporter des éléments (véhicule, signalement d'un individu, etc.), à se rapprocher d'eux, en contactant la brigade de recherches de Soissons : Tél. 03.23.53.12.85. ou par courrier électronique : br.soissons@gendarmerie.interieur.gouv.fr
A noter que la victime est toujours hospitalisée à Compiègne où elle a été transportée, vendredi dernier
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/agression-pres-de-la-rn2-un-appel-a-temoins
Le plaisancier ivre s'échoue sur les rochers à Juan-les-Pins
Parti admirer en bateau le feu d'artifice de Juan-les-Pins, un plaisancier a trop forcé sur la boisson. Au point d'échouer lamentablement le navire sur les rochers.
C'est une sacrée bizarrerie du code disciplinaire et pénal de la marine marchande. Alors que l'État fait la chasse au verre de trop sur la route, il n'existe aucun texte réprimant la consommation d'alcool à la barre d'un bateau de plaisance. Et il n'est pas davantage prévu par la loi de faire souffler dans le ballon un pilote non professionnel, s'il n'a pas eu d'accident avec un tiers.
Incroyable. Mais ce n'est certainement pas celui qui était, jeudi matin, à la barre d'un bateau de 8 mètres qui va s'en plaindre… Parti avec cinq de ses amis pour admirer le feu d'artifice de Juan-les-Pins, ce touriste français a eu beau taper dans la bouteille pendant le spectacle, cela ne l'a pas empêché de reprendre la mer vers 23 heures.
Et, forcément, ce qui devait arriver arriva. Après avoir réussi à contourner l'essentiel du Cap d'Antibes sans encombre, il n'a pas vu les rochers qui font face au 688, boulevard Bacon à Antibes. Il était alors minuit. Et son bateau s'est littéralement encastré sur l'îlot. Le choc violent a sérieusement secoué tout l'équipage. Ce dernier a alors bien essayé de se sortir seul d'affaires. Mais cela s'est vite avéré impossible avec une coque percée sur plusieurs centimètres. Dès lors, les touristes ont composé le 18. Une dizaine de secouristes sont vite venus à leur rescousse à bord de la vedette des sapeurs-pompiers.
Les naufragés ont été ramenés sur la terre ferme au port Vauban. Présentant quelques blessures légères, deux des passagers ont été conduits à l'hôpital d'Antibes.
De son côté, le pilote du bateau a été interrogé par la police. Mais la réglementation ne permettant pas de le verbaliser malgré son ivresse avérée, il n'a pas été inquiété. Quant au bateau, il devrait être prochainement remorqué par la Société nationale de sauvetage de mer (SNSM).
http://www.nicematin.com/antibes/le-plaisancier-ivre-sechoue-sur-les-rochers-a-juan-les-pins.951996.html
C'est une sacrée bizarrerie du code disciplinaire et pénal de la marine marchande. Alors que l'État fait la chasse au verre de trop sur la route, il n'existe aucun texte réprimant la consommation d'alcool à la barre d'un bateau de plaisance. Et il n'est pas davantage prévu par la loi de faire souffler dans le ballon un pilote non professionnel, s'il n'a pas eu d'accident avec un tiers.
Incroyable. Mais ce n'est certainement pas celui qui était, jeudi matin, à la barre d'un bateau de 8 mètres qui va s'en plaindre… Parti avec cinq de ses amis pour admirer le feu d'artifice de Juan-les-Pins, ce touriste français a eu beau taper dans la bouteille pendant le spectacle, cela ne l'a pas empêché de reprendre la mer vers 23 heures.
Et, forcément, ce qui devait arriver arriva. Après avoir réussi à contourner l'essentiel du Cap d'Antibes sans encombre, il n'a pas vu les rochers qui font face au 688, boulevard Bacon à Antibes. Il était alors minuit. Et son bateau s'est littéralement encastré sur l'îlot. Le choc violent a sérieusement secoué tout l'équipage. Ce dernier a alors bien essayé de se sortir seul d'affaires. Mais cela s'est vite avéré impossible avec une coque percée sur plusieurs centimètres. Dès lors, les touristes ont composé le 18. Une dizaine de secouristes sont vite venus à leur rescousse à bord de la vedette des sapeurs-pompiers.
Les naufragés ont été ramenés sur la terre ferme au port Vauban. Présentant quelques blessures légères, deux des passagers ont été conduits à l'hôpital d'Antibes.
De son côté, le pilote du bateau a été interrogé par la police. Mais la réglementation ne permettant pas de le verbaliser malgré son ivresse avérée, il n'a pas été inquiété. Quant au bateau, il devrait être prochainement remorqué par la Société nationale de sauvetage de mer (SNSM).
http://www.nicematin.com/antibes/le-plaisancier-ivre-sechoue-sur-les-rochers-a-juan-les-pins.951996.html
Un enfant de 3 ans retrouvé seul dans la rue au petit matin
Un petit garçon âgé de 3 ans a été découvert hier matin vers 7 heures errant seul dans le quartier Rodrigues, rue du Maréchal-d'Estrades à Agen. Ce sont des passants qui se sont émus de la présence de l'enfant vêtu que d'une couche, qui ont donné l'alerte au commissariat. La patrouille de police a rapidement récupéré le petit qui a été ramené à l'hôtel de police. Problème ! À cause de son jeune âge, le mineur n'était pas en mesure de s'exprimer pour permettre de localiser facilement sa famille. C'est cette dernière qui a téléphoné, affolée, au poste de police pour signaler la disparition de l'enfant qui avait été retrouvé sain et sauf. Le garçonnet, dont les parents sont séparés, se trouvait actuellement en vacances chez son père. Ce dernier avait pris son travail de nuit. Il avait quitté le domicile très tôt vers 5 heures, laissant l'enfant avec sa nouvelle compagne.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/03/1412202-agen-un-enfant-de-3-ans-retrouve-seul-dans-la-rue-au-petit-matin.html
Contexte familial ?
Le petit garçon, qui a dû se réveiller après le départ du père, aurait échappé à sa surveillance. Il a réussi à ouvrir la porte et à quitter discrètement l'appartement, se retrouvant dans la rue. Une enquête d'environnement va être diligentée afin d'examiner la situation familiale. Les services du commissariat doivent se rapprocher de la cellule «Enfance en danger» afin de vérifier si un signalement préalable n'avait pas été effectué. L'enfant a été confié à sa mère.http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/03/1412202-agen-un-enfant-de-3-ans-retrouve-seul-dans-la-rue-au-petit-matin.html
Le corps gisait dans un petit terrain vague
Le regard d’une jeune femme s’est soudain porté sur le corps inanimé d’un homme d’assez forte corpulence, recroquevillé sur lui-même, gisant au beau milieu d’un petit terrain vague, hier matin à Grazailles.
"Il était raide mort"
L’automobiliste remontait la rue du Moulin-de la-Seigne, qui passe devant le collège et débouche sur l’avenue Léon-Blum, quand elle a fait cette macabre découverte. Il était environ 11 h quand elle a garé son véhicule, avant d’avertir une voisine. Celle-ci s’est alors approchée de la silhouette : "Je l’ai secoué. Il était malheureusement raide mort."
Les policiers, alertés, et un médecin se rendaient immédiatement sur place, où ils resteront plus de deux heures, le temps nécessaire à leurs investigations. Selon leurs premières constatations, il s’agirait d’une mort naturelle. Le corps ne porte effectivement pas de traces de coups, et encore moins de blessures quelconques. A première vue en tout cas.
Tout cela devrait être confirmé aujourd’hui par un examen plus poussé du cadavre (le procureur ne jugeant pas nécessaire, dans l’immédiat, d’ordonner une autopsie).
Une fonctionnaire de police a relevé un détail troublant cependant. Les poches du jean de la victime étaient bel et bien retournées. Comme si on l’avait détroussé...
Mais si tel était le cas, ses voleurs n’auraient-ils pas emporté son téléphone portable, grâce auquel, du reste, les enquêteurs ont contacté quelques membres de sa famille.
Ces derniers ont confirmé que le quinquagénaire souffrait de problèmes respiratoires qui pourraient donc être effectivement la cause de son décès
http://www.midilibre.fr/2012/08/02/le-corps-gisait-dans-un-petit-terrain-vague,542973.php
"Il était raide mort"
L’automobiliste remontait la rue du Moulin-de la-Seigne, qui passe devant le collège et débouche sur l’avenue Léon-Blum, quand elle a fait cette macabre découverte. Il était environ 11 h quand elle a garé son véhicule, avant d’avertir une voisine. Celle-ci s’est alors approchée de la silhouette : "Je l’ai secoué. Il était malheureusement raide mort."
Les policiers, alertés, et un médecin se rendaient immédiatement sur place, où ils resteront plus de deux heures, le temps nécessaire à leurs investigations. Selon leurs premières constatations, il s’agirait d’une mort naturelle. Le corps ne porte effectivement pas de traces de coups, et encore moins de blessures quelconques. A première vue en tout cas.
Tout cela devrait être confirmé aujourd’hui par un examen plus poussé du cadavre (le procureur ne jugeant pas nécessaire, dans l’immédiat, d’ordonner une autopsie).
Une fonctionnaire de police a relevé un détail troublant cependant. Les poches du jean de la victime étaient bel et bien retournées. Comme si on l’avait détroussé...
Mais si tel était le cas, ses voleurs n’auraient-ils pas emporté son téléphone portable, grâce auquel, du reste, les enquêteurs ont contacté quelques membres de sa famille.
Ces derniers ont confirmé que le quinquagénaire souffrait de problèmes respiratoires qui pourraient donc être effectivement la cause de son décès
http://www.midilibre.fr/2012/08/02/le-corps-gisait-dans-un-petit-terrain-vague,542973.php
ABBEVILLE Plainte pour favoritisme
Suite à la plainte d'une entreprise pour favoritisme, la directrice et une
employée de la communauté de communes de l'Abbevillois ont été placées en garde
à vue.
La directrice de la communauté de communes de l'Abbevillois (Somme), Brigitte Levastre, a été placée en garde à vue à Amiens voici quelques semaines, de même que Céline Lebel, responsable des appels d'offre de la CCA. Elles ont été entendues par les policiers, suite à la plainte pour favoritisme déposée par l'Entreprise Générale du Bâtiment (EGB) d'Eu (Seine-Maritime). Celle-ci n'avait pas été choisie pour réaliser une partie du chantier de construction du nouveau dépôt de bus de l'Abbevillois. Un bâtiment inauguré en septembre 2011 à côté de la gare d'Abbeville. EGB s'estime lésée et remet en cause la sincérité de la procédure. Elle a donc saisi le tribunal administratif, mais aussi porté plainte au pénal pour faux. D'où le déclenchement d'une enquête, confiée à la police judiciaire d'Amiens et à la brigade financière.
Un prix «anormalement bas »
Contactée, la direction d'EGB se refuse à tout commentaire sur cette affaire. L'avocat de la communauté de communes, maître Pierre Van Maris, est plus disert. Il s'étonne d'abord de la réaction tardive de l'entreprise : «Après l'appel d'offres, elle n'a pas été retenue et a reçu sa notation. Elle était alors en droit de faire un recours devant le tribunal administratif, qui, dans ce cas, aurait statué très vite. Mais elle n'a pas bougé . Pourquoi ? Et maintenant, un an et demi plus tard, ils disent que le document était un faux. » L'avocat conteste : «Quand il y a appel d'offres, les propositions faites doivent répondre à un certain nombre de paramètres, qui sont notés. Et le prix n'est pas le seul critère. La communauté de communes a la possibilité de faire appel à un tiers, à un architecte ou un économiste du bâtiment pour établir la notation. Ce qui a été le cas. » Il précise cependant : «Le dossier est ensuite transmis aux élus membres de la commission d'appel d'offres qui tranchent. Cette fois, ils ont dit qu'ils n'étaient pas d'accord avec le prix de la prestation et ils ont changé la note. » D'après maître Van Maris, les élus trouvaient ce prix «anormalement bas ». Leur décision a eu pour effet d'écarter EGB de la 1ère place. Et elle a conduit les services de la CCA à modifier le tableau de notation, établi par l'architecte. C'est cette correction qui aurait conduit l'entreprise à considérer le document comme falsifié. «Ce n'est pas un faux, insiste au contraire maître Van Maris. Ce n'est pas fréquent, mais c'est possible, dans le cadre de la procédure. »
Il doute en tout cas de la solidité des arguments avancés par EGB : «Dans son recours, elle ne justifie ni des frais avancés, ni de la marge bénéficiaire escomptée. » Difficile dans ce cas d'évaluer le préjudice subi, estime encore l'avocat.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Plainte-pour-favoritisme
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