Dans le cadre de la procédure de comparution immédiate, Nicolas Arnaud était présenté au tribunal pour répondre de trafic de stupéfiants, ce lundi. Le 21 juillet, à 22 h 30, les policiers de la BAC remarquent le manège suspect de deux individus, rue Brauhauban. Ils voient l'un (Nicolas Arnaud) remettre quelque chose à l'autre (Benoît Cisneros) et le second tendre au premier 50€. Les deux sont interpellés : Nicolas a encore en main les 50 € et Benoît a juste rangé dans sa poche une barrette de 9 g de cannabis. «Je sais, j'ai pris une mauvaise décision, plaide Nicolas Arnaud. Je travaille comme un fou pour ma famille, je suis exténué et j'ai dû m'arrêter. Alors, comme il n'avait plus d'argent, j'ai pensé revendre un peu, pour renflouer, mais c'est tout. Et après, c'était fini, j'arrête tout.» Le problème, c'est qu'Arnaud est en état de récidive légale et son casier ne plaide pas en sa faveur, au contraire : pas moins de 17 mentions. Ce soir-là, il avoue spontanément aux policiers qu'il a de la «marchandise» en stock, dans une boîte en plastique. Et c'est là que la polémique va éclater. Les policiers affirment avoir trouvé la boîte dans le hall de l'immeuble, planquée sous des chiffons. Mais Arnaud conteste : «Ils m'ont mis la pression. Ils m'ont dit que si je ne disais pas qu'ils l'avaient trouvée là, je partais direct au trou et ma femme, enceinte de cinq mois, allait accoucher elle aussi en prison. Eux, ils sont assermentés, pas nous. Alors, c'est eux qu'on croit. Mais moi, je dis la vérité». Arnaud, sa compagne et une amie présente ce soir-là affirment tous les trois que les policiers sont entrées au domicile : «Sans aucune autorisation et en dehors des horaires légaux», tonne la jeune avocate de la défense, Me Coarraze, qui pique une véritable colère face à l'insinuation policière qui évoque qu'elle aurait pu être à l'origine de l'idée d'entrée au domicile. Mais entrée ou pas, vice de procédure ou pas, cela ne change pas grand-chose au résultat, Nicolas Arnaud est reconnu coupable de trafic mais échappe à la peine plancher : 1 an ferme, révocation des deux sursis de 3 mois chacun, mandat de dépôt à l'audience. 2 mois de sursis simple pour Cisneros.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/25/1406862-prison-pour-le-dealer-mais-polemique-avec-la-police.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mercredi 25 juillet 2012
Carcassonne. Un patient de l'hôpital psychiatrique ivre au volant
Lundi, à 3 h 30, les policiers carcassonnaisse rendent sur les lieux d'un accident de la circulation, chemin de la Madeleine. Au volant de la voiture amochée, appartenant à la Communauté de communes de la Malepère, un homme éméché et sans permis. Aux urgences, on s'aperçoit rapidement que cet homme de 44 ans, de Lasserre-de-Prouille, est un patient de la clinique psychiatrique de Montredon manquant à l'appel après sa journée de permission de sortie. L'homme a été immédiatement admis aux urgences psychiatriques de l'hôpital.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406296-carcassonne-un-patient-de-l-hopital-psychiatrique-ivre-au-volant.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406296-carcassonne-un-patient-de-l-hopital-psychiatrique-ivre-au-volant.html
Six mois ferme pour avoir mordu le nez de son beau-frère
Lucas ne se souvient plus de tout le déroulement de cette soirée du 9 juin dernier, dans le camp des gens du voyage d'Os-Marsillon. Car en plus des lourds traitements médicamenteux qu'il prend, cet homme de 42 ans avait bu beaucoup de verres de whisky, en compagnie de son père, son frère et son beau-frère, avec lequel une dispute a éclaté.
« Pour une histoire de famille » glisse-t-il à la présidente du tribunal correctionnel.
Mais alors que les témoins présents pensaient que les bagarreurs allaient se réconcilier en s'embrassant, Lucas a soudainement mordu le nez de son beau-frère. « Un passage à l'acte atypique et violent » pour la substitut du procureur de la République que le prévenu, en détention depuis, reconnaît.
En revanche il conteste avoir abîmé deux caravanes du camp de Mourenx dans lequel il s'était rendu au volant d'un camion pour lequel il ne disposait plus du permis de conduire. En voulant foncer sur son beau-frère qui l'avait esquivé, il avait esquinté les deux caravanes.
« Les faits dépassent le cadre du conflit familial » gronde le ministère public qui requiert la peine plancher à l'encontre de cet homme qui compte 18 condamnations sur son casier : un an dont six mois avec sursis et maintien en détention.
« Haine entre deux clans »
« Il y a peu d'affaires de violences dans son casier » rétorque Me Henri Moura, son avocat, qui estime que son client est habituellement « quelqu'un de très gentil ». Il met cette montée de violence sur le compte d'« une vieille haine tenace entre deux clans » avant d'assurer que sa femme vient de « déménager dans le Tarn pour le sortir de ce contexte ».
Le tribunal a finalement suivi à la lettre les réquisitions du substitut du procureur.
http://www.sudouest.fr/2012/07/24/six-mois-de-prison-ferme-777299-4310.php
« Pour une histoire de famille » glisse-t-il à la présidente du tribunal correctionnel.
Mais alors que les témoins présents pensaient que les bagarreurs allaient se réconcilier en s'embrassant, Lucas a soudainement mordu le nez de son beau-frère. « Un passage à l'acte atypique et violent » pour la substitut du procureur de la République que le prévenu, en détention depuis, reconnaît.
En revanche il conteste avoir abîmé deux caravanes du camp de Mourenx dans lequel il s'était rendu au volant d'un camion pour lequel il ne disposait plus du permis de conduire. En voulant foncer sur son beau-frère qui l'avait esquivé, il avait esquinté les deux caravanes.
« Les faits dépassent le cadre du conflit familial » gronde le ministère public qui requiert la peine plancher à l'encontre de cet homme qui compte 18 condamnations sur son casier : un an dont six mois avec sursis et maintien en détention.
« Haine entre deux clans »
« Il y a peu d'affaires de violences dans son casier » rétorque Me Henri Moura, son avocat, qui estime que son client est habituellement « quelqu'un de très gentil ». Il met cette montée de violence sur le compte d'« une vieille haine tenace entre deux clans » avant d'assurer que sa femme vient de « déménager dans le Tarn pour le sortir de ce contexte ».
Le tribunal a finalement suivi à la lettre les réquisitions du substitut du procureur.
http://www.sudouest.fr/2012/07/24/six-mois-de-prison-ferme-777299-4310.php
mardi 24 juillet 2012
Lyon : le casse à la voiture-bélier se termine en fuite de gaz
Il était 12h50, ce mardi, dans une artère proche de l’avenue Jean-Mermoz lorsque le conducteur d’une Peugeot 406 est victime d’un car-jacking. Quelques instants plus tard, le malfaiteur se retrouve au volant du véhicule devant l’agence de la Caisse d’Epargne à l’angle des rues Desparmet et du Professeur Murat.
Il enclenche la marche arrière pour tenter de fracturer le distributeur automatique de l’agence bancaire. Il emboutit le mur sans pour autant le faire céder mais endommage au passage un boitier d’arrivée de gaz, provoquant une fuite dans le quartier.
L’homme a alors abandonné la voiture et pris la fuite sur une moto pilotée par un complice.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/07/24/lyon-le-casse-a-la-voiture-belier-se-termine-en-fuite-de-gaz
Il enclenche la marche arrière pour tenter de fracturer le distributeur automatique de l’agence bancaire. Il emboutit le mur sans pour autant le faire céder mais endommage au passage un boitier d’arrivée de gaz, provoquant une fuite dans le quartier.
L’homme a alors abandonné la voiture et pris la fuite sur une moto pilotée par un complice.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/07/24/lyon-le-casse-a-la-voiture-belier-se-termine-en-fuite-de-gaz
Après la mort du trentenaire le suspect remis en liberté
Fabrice Dufeu, 28 ans, a été tué après qu'on a tenté de voler son quad en
2010 à Villers-sur-Coudun. Johann Gillot, 26 ans, clame son innocence.
Après un an et demi de détention provisoire, Johann Gillot, 26 ans, est sorti de la maison d'arrêt de Liancourt vendredi. La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Amiens a décidé de le placer sous contrôle judiciaire, avec assignation à résidence. Depuis son interpellation après la mort violente de Fabrice Dufeu, 28 ans, dans la nuit du 24 décembre2010 à Villers-sous-Coudun, Gillot clame son innocence. Et plus l'enquête avance, plus les éléments qui l'innocentent s'accumulent.
Ce soir-là, Johann Gillot a voulu voler le quad de la victime. Mais Fabrice Dufeu, qui était en train de jouer au poker sur internet, a entendu le moteur de son engin. Il poursuit son voleur dans la rue enneigée, il le rattrape. Fabrice Dufeu est un grand gaillard d'1m97 pour 115kg, Johann Gillot ne peut pas lutter. Il se fait rouer de coups. S'il n'y a pas de témoins de la scène, les proches de la victime l'ont entendu hurler : «C'est très grave, appelle les gendarmes, je l'ai ce fils de p... !». À cet instant, on devine que le voleur est maîtrisé. Que se passe-t-il dans les instants d'après ? Mystère. La concubine de Fabrice Dufeu le retrouve allongé en pleine rue, inconscient. Il a été étranglé.
A-t-il pu l'étrangler malgré son bras cassé ?
Johann Gillot avait pris la fuite à pieds, laissant sa Peugeot 106 sur place, ce qui permettra aux enquêteurs de l'identifier. Il sera interpellé le lendemain. Lors de la violente scène, le suspect a eu le bras cassé. Pour Me Jérôme Crépin, cet élément « démontre qu'il ne peut pas être celui qui a tué la victime». De même, les expertises scientifiques ont déterminé que les fibres retrouvées sur le corps et les vêtements de la victime sont différentes de celles des vêtements de Gillot, de la couverture qui lui a été posée dessus après l'agression, et de celles des vêtements des gendarmes. D'où proviennent-elles ? Encore un mystère.
Gillot a avoué la tentative de vol du quad. Selon lui, il était tombé inconscient après que la victime l'a frappé et il a pu prendre la fuite quand il est revenu à lui.
Est-ce un complice qui est responsable de la mort de Fabrice Dufeu ? Gillot affirme avoir été seul cette nuit-là. «S'il y avait eu un complice, il aurait tout intérêt à le dénoncer », insiste Me Crépin. Gillot indique avoir vu deux individus entrer dans la propriété de la victime avant qu'il ne tente de voler le quad. L'instruction du dossier se poursuit.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Apres-la-mort-du-trentenaire-le-suspect-remis-en-liberte
Sallaumines : Une dame de 92 ans décède après avoir été percutée par une voiture
Ce mardi matin, les sapeurs-pompiers lensois, liévinois et le Smur de Lens ont tenté de réamnimer une dame de 92 ans qui venait d'être percutée par une voiture, rue Edouard-Vaillant à Sallaumines.
Malgré leurs soins, la dame est décédée sur les lieux de l'accident. La police avait mis en place une déviation dans l'axe principal de Sallaumines. On ignore pour l'heure les circonstances de ce drame.
http://www.lavoixdunord.fr/region/sallaumines-une-dame-de-92-ans-decede-apres-avoir-ia653b0n597493
http://www.lavoixdunord.fr/region/sallaumines-une-dame-de-92-ans-decede-apres-avoir-ia653b0n597493
A 12 ans, il tente d'écouler des chèques-restaurant volés
À 12 ans, ce jeune Albigeois emprunte un parcours délinquant inquiétant. La semaine dernière, avec deux copains à peine plus âgés que lui, il avait, sous la menace d'un couteau, obligé deux adolescents à le suivre jusqu'au Skate park. Là, le trio avait obligé ses victimes à vider le contenu de leur sac, leur dérobant un appareil photo numérique et un peu d'argent. Pour ces faits, le garçon de 12 ans est convoqué devant le juge des enfants. Au lieu de se tenir tranquille, il a à nouveau fait parler de lui hier après-midi. Ayant passé commande d'un plat à emporter au «Kangoo», il se présente dans cette pizzeria kebab située en face du Jardin national. Pour régler, il présente un chèque-restaurant, mais le patron se rend vite compte que ce ticket a déjà servi. Il prévient la police. L'adolescent est donc prié de venir s'expliquer au commissariat. Après vérifications, il apparaît que ces tickets-restaurants avaient été dérobés la semaine dernière au «Saint-Salvy». L'ado, bien sûr, nie le vol, affirmant qu'il a «trouvé» ces tickets. Reste à savoir si le parquet d'Albi sera convaincu par ses explications.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406193-albi-a-12-ans-il-tente-d-ecouler-des-cheques-restaurant-voles.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406193-albi-a-12-ans-il-tente-d-ecouler-des-cheques-restaurant-voles.html
Quand les jeunes touristes terminent leur vacances en garde à vue...
C’est imparable, parmi les estivants, il y a toujours des vacanciers plus remuants que les autres. Un doux euphémisme si l’on considère le coup de colère qui s’est emparé d’un jeune homme de 20 ans, originaire de Vichy et en vacances à Agde.
Complètement ivre, il va se venger sur une voiture
Samedi, vers 3 heures du matin, il se fait éconduire d’une boîte de nuit sur l’île des Loisirs parce qu’il a bu plus que de raison. Le garçon, complètement ivre, va se venger sur une voiture qui avait le tort d’être garée sur le parking Richelieu.
Après avoir cassé un rétroviseur et bourré la portière de coups de pied, il est interpellé par les policiers et reconnaît les faits. Il fait l’objet d’une comparution par reconnaissance préalable de culpabilité le 17 septembre prochain.
Deux autres touristes volent de l'alcool dans un supermarché
Le même jour, vers 11 heures du matin, les policiers d’Agde sont appelés par les responsables du magasin Intermarché, à Agde. L’agent de sécurité avait été intrigué par le manège de deux jeunes hommes, portant péniblement deux sacs plastique venant du magasin.
Alors que les deux garçons font une pause sur le parking, le vigile contrôle le contenu des sacs. Il y découvre une vingtaine de bouteilles d’alcool, whisky, champagne et aucun ticket de caisse. Le préjudice est évalué à 620 € environ.
Les deux garçons, âgés de 23 et 24 ans, tous deux originaires de Villeurbanne et en week-end à Agde, ont réussi à sortir en douce les bouteilles du magasin.
Renseignements pris, les deux garçons sont connus des services d’ordre de la région lyonnaise. Placés en garde à vue, ils ont été relâchés avec convocation par reconnaissance préalable de culpabilité, pour le 17 septembre également.
http://www.midilibre.fr/2012/07/23/les-jeunes-touristes-terminent-le-week-end-en-garde-a-vue,538177.php
Complètement ivre, il va se venger sur une voiture
Samedi, vers 3 heures du matin, il se fait éconduire d’une boîte de nuit sur l’île des Loisirs parce qu’il a bu plus que de raison. Le garçon, complètement ivre, va se venger sur une voiture qui avait le tort d’être garée sur le parking Richelieu.
Après avoir cassé un rétroviseur et bourré la portière de coups de pied, il est interpellé par les policiers et reconnaît les faits. Il fait l’objet d’une comparution par reconnaissance préalable de culpabilité le 17 septembre prochain.
Deux autres touristes volent de l'alcool dans un supermarché
Le même jour, vers 11 heures du matin, les policiers d’Agde sont appelés par les responsables du magasin Intermarché, à Agde. L’agent de sécurité avait été intrigué par le manège de deux jeunes hommes, portant péniblement deux sacs plastique venant du magasin.
Alors que les deux garçons font une pause sur le parking, le vigile contrôle le contenu des sacs. Il y découvre une vingtaine de bouteilles d’alcool, whisky, champagne et aucun ticket de caisse. Le préjudice est évalué à 620 € environ.
Les deux garçons, âgés de 23 et 24 ans, tous deux originaires de Villeurbanne et en week-end à Agde, ont réussi à sortir en douce les bouteilles du magasin.
Renseignements pris, les deux garçons sont connus des services d’ordre de la région lyonnaise. Placés en garde à vue, ils ont été relâchés avec convocation par reconnaissance préalable de culpabilité, pour le 17 septembre également.
http://www.midilibre.fr/2012/07/23/les-jeunes-touristes-terminent-le-week-end-en-garde-a-vue,538177.php
Faits divers
Elle vole dans la caisse
Une jeune femme a été arrêtée, place Myron-Herrick à Reims, vendredi 20 juillet à 17 h 45, suite au signalement de bijoutiers. Elle venait en effet de dérober 740 euros dans la caisse du magasin. Elle était venue pour acheter une montre, mais la carte d'identité qu'elle présentait n'était pas à elle. Le temps que la vendeuse aille faire une vérification, elle a pris l'argent dans le tiroir-caisse et s'est enfuie. Pas assez loin pour échapper aux policiers. Elle a reconnu les faits et est convoquée au tribunal le 22 octobre.
n Rattrapé pour purger sa peine
Un homme de 45 ans, Eric Latouche, a été interpellé vendredi 20 juillet à 20 h 25, sur la voie publique à Reims : il avait été condamné par la cour d'appel, le 4 novembre 2010, à purger une peine de 7 mois de prison pour conduite en état d'alcoolémie, défaut de permis de conduire et défaut d'assurance, le tout en état de récidive ! Il était recherché suite à un extrait d'arrêt de la cour d'appel de Reims.
n Un SDF « filou »
Un sans-domicile fixe a été interpellé vendredi 20 juillet à 21 heures, dans un hôtel de la place d'Erlon à Reims. Le propriétaire avait désigné cet homme de 48 ans pour « filouterie », entre le 13 et le 16 juillet. Il devait en effet 347 euros. Le SDF a reconnu les faits et sera convoqué pour une médiation pénale, à savoir rembourser cette somme, s'il le peut.
n Feux
Nuit assez calme à Reims : à 19 h 15, il y a eu un feu de chariot de supermarché rempli de détritus, rue Sidi Bel Abbes ; à 4 h 45, une Clio a brûlé, rue Dumont-Durville, et le feu s'est propagé à une Fiesta et un Picasso ; enfin, à 4 h 50, une poubelle a pris feu, rue Camille-Lenoir.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/faits-divers-12
Une jeune femme a été arrêtée, place Myron-Herrick à Reims, vendredi 20 juillet à 17 h 45, suite au signalement de bijoutiers. Elle venait en effet de dérober 740 euros dans la caisse du magasin. Elle était venue pour acheter une montre, mais la carte d'identité qu'elle présentait n'était pas à elle. Le temps que la vendeuse aille faire une vérification, elle a pris l'argent dans le tiroir-caisse et s'est enfuie. Pas assez loin pour échapper aux policiers. Elle a reconnu les faits et est convoquée au tribunal le 22 octobre.
n Rattrapé pour purger sa peine
Un homme de 45 ans, Eric Latouche, a été interpellé vendredi 20 juillet à 20 h 25, sur la voie publique à Reims : il avait été condamné par la cour d'appel, le 4 novembre 2010, à purger une peine de 7 mois de prison pour conduite en état d'alcoolémie, défaut de permis de conduire et défaut d'assurance, le tout en état de récidive ! Il était recherché suite à un extrait d'arrêt de la cour d'appel de Reims.
n Un SDF « filou »
Un sans-domicile fixe a été interpellé vendredi 20 juillet à 21 heures, dans un hôtel de la place d'Erlon à Reims. Le propriétaire avait désigné cet homme de 48 ans pour « filouterie », entre le 13 et le 16 juillet. Il devait en effet 347 euros. Le SDF a reconnu les faits et sera convoqué pour une médiation pénale, à savoir rembourser cette somme, s'il le peut.
n Feux
Nuit assez calme à Reims : à 19 h 15, il y a eu un feu de chariot de supermarché rempli de détritus, rue Sidi Bel Abbes ; à 4 h 45, une Clio a brûlé, rue Dumont-Durville, et le feu s'est propagé à une Fiesta et un Picasso ; enfin, à 4 h 50, une poubelle a pris feu, rue Camille-Lenoir.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/faits-divers-12
lundi 23 juillet 2012
Un Norvégien meurt à Chamonix
Un Norvégien d'une quarantaine d'années est mort lundi à Chamonix, en Haute-Savoie, lors d'un vol en wingsuit (combinaison en forme d'ailes, ndlr). L'homme n'est pas parvenu à ouvrir son parachute, après avoir sauté du Brévent, un sommet du massif des Aiguilles Rouges haut de 2.525 mètres et très convoité par les amateurs de wingsuit depuis un mois car accessible en téléphérique.
Un autre homme, originaire d'Afrique du Sud, qui avait lui aussi sauté du Brévent en wingsuit, a par ailleurs été gravement blessée à la même heure et transporté à l'hôpital de Sallanches. "Son pronostic vital n'est pas engagé", a précisé le peloton de gendarmerie de haute montagne.
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